Risque de transmission du Sida
Posté : 28 nov. 2012, 15:17
Bonjour,
Dans le cadre de l'éducation à la sexualité, je discute souvent avec les 3° du risque de transmission du VIH en fonction des pratiques sexuelles.
Cela m'amène parfois sur des chemins et des questions surprenants.
Avez vous un document synthétique ou des informations concernant celui-ci?
1° exemple, un ami médecin m'a expliqué que l'on pouvait pratiquement conseiller à un couple fidèle dont un membre est séropositif de se passer du préservatif si la trithérapie mise en place était efficace, du fait de la charge virale quasi inexistante dans ce cas là. Est ce un fait qui est tu afin de ne pas brouiller le message de prévention, ou est-ce exagéré?
2° exemple, dans les documents que je leur fournis, il est marqué que s'échanger une brosse à dents présente un risque, mais pas celui de s'embrasser. Une question fréquente est alors de me demander "Et si on s'embrasse après s'être brossé les dents?" Je leur réponds que le risque existe du fait des micro-saignements mais dans quelle mesure est-ce vrai, si l'on compare celui-ci avec un rapport classique non-protégé?
3° exemple : l'augmentation du risque du rapport anal par rapport au rapport vaginal du fait d'une muqueuse plus fragile est-il quantifié?
4° exemple : dans le cadre d'une fellation où celui ou celle qui la pratique est séropositif(ve) (et pas celui qui en "bénéficie"), le risque est-il quantifié? Et dans l'autre sens?
Pour ce 4° exemple, je sais que mes réponses ont parfois conduit certain(e)s élèves vers les centres de dépistage, avec l'angoisse que cela comporte, d'où mes demandes de précisions.
Merci beaucoup!
Dans le cadre de l'éducation à la sexualité, je discute souvent avec les 3° du risque de transmission du VIH en fonction des pratiques sexuelles.
Cela m'amène parfois sur des chemins et des questions surprenants.
Avez vous un document synthétique ou des informations concernant celui-ci?
1° exemple, un ami médecin m'a expliqué que l'on pouvait pratiquement conseiller à un couple fidèle dont un membre est séropositif de se passer du préservatif si la trithérapie mise en place était efficace, du fait de la charge virale quasi inexistante dans ce cas là. Est ce un fait qui est tu afin de ne pas brouiller le message de prévention, ou est-ce exagéré?
2° exemple, dans les documents que je leur fournis, il est marqué que s'échanger une brosse à dents présente un risque, mais pas celui de s'embrasser. Une question fréquente est alors de me demander "Et si on s'embrasse après s'être brossé les dents?" Je leur réponds que le risque existe du fait des micro-saignements mais dans quelle mesure est-ce vrai, si l'on compare celui-ci avec un rapport classique non-protégé?
3° exemple : l'augmentation du risque du rapport anal par rapport au rapport vaginal du fait d'une muqueuse plus fragile est-il quantifié?
4° exemple : dans le cadre d'une fellation où celui ou celle qui la pratique est séropositif(ve) (et pas celui qui en "bénéficie"), le risque est-il quantifié? Et dans l'autre sens?
Pour ce 4° exemple, je sais que mes réponses ont parfois conduit certain(e)s élèves vers les centres de dépistage, avec l'angoisse que cela comporte, d'où mes demandes de précisions.
Merci beaucoup!